Des études menées à partir des données des satellites Planck et Herschel viennent de lever un coin de voile sur la manière dont ces énormes structures bien différenciées ont pu émerger à partir d’un Univers très homogène dans sa prime jeunesse.
Planck et Herschel sur la piste des proto-amas
Du gypse sur Mars
ChemCam focalise un laser sur la roche ce qui la volatilise et permet d'analyser sa composition chimique élémentaire. En parallèle, une caméra prend une image pour déterminer le point de contact du laser. Les spectres obtenus par ChemCam sur les filons sont très différents des compositions martiennes habituelles (basaltiques) et montrent une composition de sulfates de calcium, dont le minéral le plus typique est le gypse.
Ce qui reste de l’atmosphère martienne demeure dynamique
Les preuves s'accumulent que Mars a perdu une grande partie de son atmosphère primordiale par un processus d’échappement par le haut.
Premières cartes globales d’ammoniac mesurées par l’instrument français IASI
Ces travaux ont été réalisés grâce aux mesures infrarouges de l’instrument français IASI (Infrared Atmospheric Sounding Interferometer), élément du satellite météorologique MetOp développé par le CNES. Dans une publication parue dans la revue Nature Geoscience du 21 juin, l’équipe décrit un résultat inattendu de la mission IASI et identifie une trentaine de sources majeures d’ammoniac pour l’année 2008.
Premier suivi des pics de pollution en Chine par satellite infrarouge
Ces travaux ont été effectués par une équipe du Laboratoire atmosphères, milieux, observations spatiales (LATMOS/IPSL, CNRS / UPMC / UVSQ) en collaboration avec des chercheurs belges et avec le soutien du CNES, à partir des mesures du sondeur infrarouge IASI lancé à bord du satellite MetOp. Leurs résultats inédits sont publiés en ligne sur le site de la revue Geophysical Research Letters le 17 janvier 2014.
Le segment sol scientifique de GAIA dans la dernière ligne droite
Le Conseil d’administration du CNES approuve la participation française à Euclid
Cette mission scientifique de l'Agence spatiale européenne (ESA), qui doit être lancée en 2020, est très attendue par les scientifiques français. Son objectif est de déterminer l'origine de l'accélération de l'expansion de l'univers et la nature de la mystérieuse énergie sombre.